L’identité : En tant que proche et pour ne pas froisser l’autre, il arrive souvent que nous nous retenions de dire ce que nous pensons. Même si la personne malade peut faire face à des sautes d’humeur et à de l’irritabilité, n’oubliez pas de garder votre identité, de rester comme vous êtes et tel qu’il vous connaît.
Au lieu de parler uniquement de la maladie et de vous enfermer dans une bulle de tristesse, essayez plutôt de partager votre quotidien et vos projets avec lui pour qu’il ne se sente pas exclu et faites-le participer (demandez-lui son avis, des conseils, des idées…).