Peu après, Samuel partage ses impressions sur son propre passage devant l’IGPN. Il décrit l’interrogatoire avec une métaphore pour le moins imagée : « un suppo au piment d’Espelette ». Une phrase qui fait sourire mais révèle son malaise. Idriss, quant à lui, ne prend pas la situation à la légère. Il soupçonne Savina de manipuler Morgane, voire de tenter de la retourner. Selon lui, l’IGPN ne se contente pas d’enquêter, elle cherche un accord officieux avec Morgane, une sorte de pacte en coulisse.
Face à l’ampleur de ce qu’il pressent, Idriss décide de solliciter Luna. Il a besoin de soutien, mais aussi d’un regard extérieur. Par chance, Luna a entendu une partie de l’échange entre Morgane et Savina au Mistral. Mieux encore, après avoir été intriguée, elle a eu le réflexe d’enregistrer la fin de leur conversation. Cette preuve pourrait s’avérer précieuse. Idriss lui explique que selon lui, Savina veut affaiblir le commissariat de l’intérieur, et pour cela, elle essaie d’utiliser Morgane comme levier.
Dans un tout autre contexte, la libération de Bahram se concrétise enfin. Il retrouve Eric, visiblement ému. Celui-ci lui annonce que non seulement il va obtenir un permis de séjour, mais qu’en plus, un poste d’interne l’attend à l’hôpital. C’est un nouveau départ qui se profile. Dans un moment d’intimité chargé d’émotion, Bahram et Eric échangent pour la première fois un « je t’aime » sincère, longtemps retenu. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>
