Ce changement réjouit Estelle Dossin : « On avait besoin de sortir nos participants de leur zone de confort. Il fallait absolument du changement pour pouvoir les solliciter en terme de motivation et d’implication. Et si on allait ailleurs ?
Quand on est face à une forme d’insécurité, un cadre que l’on ne connaît pas, on est obligés de faire plus confiance à l’autre. Cela faisait un biais positif par rapport à l’investissement », défend-elle. Mais alors pourquoi Gibraltar ? Il y a forcément des raisons logistiques… Rendez-vous à la page suivante >>