« Ma classe sera quasiment vide la dernière semaine, les familles seront parties en vacances, surtout si les prix touristiques sont considérés hors vacances, donc moins chers », confie Hélène, professeur d’histoire, à nos confrères du Parisien.
Si l’absence des élèves est le problème principal d’une multitude de professeurs, pour d’autres, la chaleur en ajoute un second : « Plus on avance dans l’année, plus il fait chaud. Déjà ils prévoient 35° un 18 mai, alors un 8 juillet je n’imagine pas la chaleur en classe ».
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