Le scénario envisagé par Olivier Véran

« Il circule fortement. Toutes les modalisations sont concordantes, qu’elles soient faites par l’INSERM, par l’Institut Pasteur, par le CNRS, par le CDC. Elles nous prédisent un pic épidémique à la fin de l’été qui viendra, potentiellement, fortement impacter le système hospitalier si rien n’était fait d’ici là », a-t-il expliqué. Selon lui, il ne faut donc pas « se laisser endormir par le retour des beaux jours parce que le virus, lui, ne prend pas de vacances », a-t-il ajouté. Il a toutefois souhaité être rassurant et a affirmé : « Tout porte à croire que nous avons pris de l’avance sur le scénario du pire ». Rendez-vous à la page suivante >>