Le protocole va changer à l’école dès le 4 octobre

Pour justifier le manque d’efficacité de cette campagne de dépistage, Jean-Michel Blanquer a avancé plusieurs éléments: une trop faible capacité des laboratoires à répondre à la demande, des parents pas forcément convaincus par la nécessité de tester… “Mais aujourd’hui nous gérons bien la situation”, a promis le ministre qui a évoqué un taux de positivité de 0,15% parmi les 200.000 tests hebdomadaires réalisés (sur 12 millions d’élèves en France). Rendez-vous à la page suivante >>