L’alcoolisme s’est tout d’abord insinué dans la vie de Francis Perrin de façon discrète. Tout a commencé par un simple verre de whisky que ce papa d’un enfant autiste consommait de temps à autre, tel un pansement appliqué sur la moindre contrariété.
Mais le besoin de boire s’est accru, et bientôt, c’est une bouteille par jour qu’il ingurgitait, plongeant sans modération dans l’enfer de ce qu’il définit lui-même comme un « poison ». Rendez-vous à la page suivante >>