Dans la saison 18 de « L’amour est dans le pré », actuellement diffusée chaque lundi sur M6, le cœur de Patrice a trouvé refuge auprès de Justine après avoir invité Véronique dans sa ferme. Les choses ont pris une tournure rapide, puisque Justine a emménagé chez l’agriculteur, offrant aux téléspectateurs une séquence de déménagement mémorable. Cependant, derrière le caractère bien trempé de Justine, surnommée le « Colonel Justine » dans l’émission, se cachent des failles et un passé parfois difficile.
Le passé de Justine révélé : une lutte contre la dépression
Il y a trois ans, bien avant sa participation à « L’amour est dans le pré », Justine, grande amatrice de peluches, a traversé une période de dépression. Elle avait ouvert son cœur à ce sujet sur les ondes de France Bleu Alsace, une station de radio à laquelle elle était fidèle. En 2020, elle avait révélé : « Je suis en train de me reconstruire un nouveau projet après un burn-out très compliqué, donc une dépression très grave. Je n’en ai pas parlé à la radio car je veux positiver et aller de l’avant. »
Elle avait également évoqué ses projets de reconversion, tels que le bureautique, le tourisme ou même le métier de traductrice, qu’elle souhaitait explorer grâce à des stages d’immersion avec Pôle emploi, en France et en Allemagne.
Les passions et les défis de Justine
Sur France Bleu, Justine avait partagé des aspects de sa personnalité, tels que sa grande timidité, son amour pour la nature et certaines de ses passions. Le chant, en particulier, avait joué un rôle essentiel pour surmonter ses complexes et le regard des autres. Elle avait accepté sa voix grave en 2016 grâce à des cours de chant et avait même participé à une chorale. Pour elle, monter sur scène avait été une expérience libératrice permettant d’oublier son physique, les critiques et les complexes. Son objectif ultime était de vaincre sa timidité et de s’accepter telle qu’elle est.