A l’annonce de la maladie, Nathalie Marquay, grosse fumeuse, comme Jean-Pierre l’était, avait du jour au lendemain arrêté, solidaire de son mari. A Noël, il avait tenu absolument à partir avec leurs enfants aux Maldives. Chaque année il tenait à faire en famille un voyage exceptionnel. Mais celui-là semblait lui tenir particulièrement à cœur. Comme si un pressentiment intime lui imposait une certaine urgence.
Au retour de leurs vacances, après un contrôle à l’hôpital Européen Georges-Pompidou, à Paris, où il était suivi, le sourire revenait sur les visages de Jean-Pierre et Nathalie. Rendez-vous à la page suivante >>