Tous deux rencontrent ensuite le boucher avec lequel ils doivent négocier l’achat de viande pour l’institut. Lorsqu’il découvre le montant de la facture, Teyssier ne peut s’empêcher d’exprimer son mécontentement : il aurait souhaité obtenir une réduction de 4% sur le prix du bœuf.
Inès ne se laisse pas impressionner par la situation. Forte et habile, elle met en avant la concurrence pour faire pression sur le commerçant. Sa stratégie audacieuse porte ses fruits : le boucher accepte de faire un geste commercial et accorde la remise demandée.
Teyssier est littéralement bluffé par l’assurance et le culot d’Inès. Il découvre en elle une alliée précieuse et pleine de ressources, et une véritable complicité commence à se tisser entre eux. Inès, à sa manière, lui enseigne un nouveau langage, fait d’audace, de négociation, et d’une certaine modernité. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>
