Françoise Hardy en fin de vie, euthanasie : les derniers mots de Jacques Dutronc

« Je ne peux plus avaler grand-chose, et la préparation d’une alimentation, toujours la même, que je puisse avaler, me prend plus de cinq heures par jour. Je n’ai plus rien qui fonctionne normalement depuis ces thérapies et mes nuits sont pires que mes jours. Il y a toujours pire que ce dont on souffre soi-même, mais ce n’est pas une consolation », a poursuivi l’artiste qui a répondu aux questions par mail, son état ne lui permettant pas de le faire de vive voix.