Outre celui de ses camarades, la petite Evaëlle subissait le harcèlement d’une de ses professeurs. « Il faut prendre le mot harcèlement au sens large ». Sébastien, le père de la petite Evaëlle qui s’est suicidée, dans le Val-d’Oise à Herblay, tire la sonnette d’alarme, dans les colonnes du Parisien.
Si la collégienne de 11 ans qui a été retrouvée pendue le vendredi 21 juin dernier dans sa chambre, subissait les moqueries, le bizutage, les coups et les insultes de ses camarades au collège Georges-Duhamel, elle était aussi victime du harcèlement de l’une de ses professeurs.