« Tous les matins, Louna stresse à l’idée d’aller à l’école. Elle pleure, et elle va me poser 46 fois les mêmes questions. Elle le fait aussi le soir en sortant de l’école, jusqu’à ce qu’on aille se coucher », a-t-elle commencé par expliquer.
Ces questions ? « Est-ce que tu vas venir me chercher ? Est-ce que tu ne peux pas vivre sans moi ? Est-ce que je reste au périscolaire ? Est-ce que je dors à l’école ? Est-ce que tu seras la première devant la classe ?