À l’hôpital, la situation d’Aurore devient critique. Sa température grimpe brusquement jusqu’à 40,5°C, un symptôme troublant, très proche de celui de Louis Romero. Face à l’urgence, William change de position. Il décide de tenter l’hypothèse de l’épiglottite et suit le protocole d’Aaron. Il prépare une injection de cortico-stéroïdes et l’administre lui-même à Aurore.
Mais juste après avoir réalisé l’injection, William découvre un message laissé par Marianne sur son répondeur. Elle vient de recevoir les résultats des analyses. Le diagnostic est formel : il ne s’agit pas d’une épiglottite. Marianne insiste sur un point crucial – si le traitement avait été administré à temps, il aurait pu se révéler fatal pour les patients concernés.