« C’est un travail de fourmi », fait savoir François Daoust, ancien directeur de l’IRGN du pôle judiciaire de la gendarmerie. Un travail très compliqué en raison du grand nombre de cavités, d’excavations, et la présence de zones qui sont encore inexplorées.
« On peut largement faire disparaitre quelqu’un et ne pas le retrouver tout de suite », a-t-il estimé. Déjà, en janvier dernier la mairie de Cagnac-les-Mines avait recensé tous les puits de l’espace public dans les alentours. Rendez-vous à la page suivante >